« Plus d’eau enfin disponible dans Libreville et ses environs ».

 Publié le 21 mai par la cellule communication.

Les travaux d’urgence lancés en 2012 et  en cours d’achèvement, ont aujourd’hui d’accroître le débit de 25%. Une opération de rattrapage titanesque mais face à l’expansion démographique, la conquête de l’eau est un combat face auquel Ali Bongo Ondimba a réaffirmé sa « détermination » à tout faire pour offrir à tous les Gabonais les bénéfices du confort domestique.

 Pour les résidents de la zone nord, quasi sevrées durant plusieurs années, c’est le début d’une nouvelle ère. Désormais, la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG)  reste leur principale interlocutrice pour le raccordement domestique.

Aussi, durant son périple  entre Ntoum et Angondjé, le président de la République a eu l’occasion de se faire présenter par les équipes du Ministère de l’Energie et des Ressources Hydrauliques et les opérateurs, les atouts des installations dimensionnées pour faire face à l’avenir : canalisation en fonte ductile de 1,2 m de diamètre sur 33 km entre Ntoum et PK9 ; réservoir PK9 de 7500 m3 ; canalisation de 1 m de diamètre sur 11 km entre PK9 et Carrefour Charbonnages via la Cité de la Caisse où a été édifié le plus grand réservoir du pays (10.000 m3 en 2 compartiments) ; canalisation gravitaire de 0,8 m sur 11,5 km entre Carrefour Charbonnages et la bâche d’Okala dotée de nouvelles pompes à 750 m3/h, conduite de refoulement de 0,4 m sur 2 km entre Okala et un double château d’eau (2 x 2000 m3) à Angondjé.

 D’ors et déjà , entre Ntoum et la capitale, plusieurs conduites et réservoirs acheminent à travers 57km de canalisations, 210.000 m3 d’eau. Une eau qui aujourd’hui jaillit notamment dans les maisons de la cité Amissa à Angondjé comme a pu le constater le Chef de l’Etat, soucieux d’inspecter personnellement les sites techniques qui jalonnent  le réseau de transport et de stockage.

Le nouveau réseau de transport et de stockage de l’eau est désormais une réalité. Le dispositif est appelé à se développer encore, une fois les financements acquis, avec la poursuite de la construction de l’usine Ntoum7 et la mobilisation des eaux brutes du Komo à Kango.